la question à se poser, c’est quand, à la faveur de quoi, de quel incident de parcours, la "masse" qui souffre et qui subit va relever la tête et prendre conscience de la force qu’elle représente si elle s’unit !
Les gens font la révolution, ma bonne amie, quand ils ont la quasi certitude que ce sera mieux après qu’avant !
Ils sont désormais trop bien informés pour croire encore à ce genre de billevesées. A l’exception sans doute des arriérés en provenance du tiers monde, mais qui ne sont pas (encore) assez nombreux pour bouleverser l’ordre social du pays.