« Qui prétend encore qu’il suffit pour guérir de jeter le thermomètre ? L’abandon des monnaies nationales n’a fait en réalité que déplacer le problème tout en l’aggravant, le risque Devise étant tout bonnement remplacé par le risque crédit, autrement dit en le spectre du défaut de paiement de certains pays de l’Union. »
Là je vous suis tout à fait. Le problème est que les politiques ont voulu fait l’union monétaire pour s’imposer une certaine rigueur budgétaire tout en faisant le contraire. Résultat, ne pouvant faire fonctionner la planche à billet ils ont fait fonctionner le crédit, ce qui revient au même quand on en arrive à emprunter pour rembourser les anciens crédits. L’endettement de la France était presque nul (3% du PIB) sous Pompidou. Il va passer maintenant à 80%.