Qui peut encore penser que Le Monde est un "grand quotidien du soir" ou un "journal de référence", à part quelques journalistes qui ânonnent des formules entendues pendant leurs études dans les écoles de journalisme ?
Quel rapport entre la qualité et l’objectivité des informations et des analyses du quotidien de Beuve-Méry et d’André Fontaine et le torchon, la feuille à scandales, pour ne pas dire le journal de chantage, qu’il est devenu depuis que Colombani et Plenel l’ont dirigé ?
Après avoir lu ses informations trouvées dans les poubelles des tribunaux pour l’actualité française, et dans cercles néo-cons pour la politique internationale, et les réactions de ses abonnés ( parmi les plus réacs du web), on éprouve un sentiment de fraicheur et d’honneteté à la lecture du Figaro.