Dans leur pétition "liberté pour l’histoire" du 12/12/2005 qui demandait l’abrogation des lois mémorielles, dont la loi Fabius-Roccard-Gayssot, dix-neufs intellectuels dont Alain Decaux, Jean-Pierre Azéma, Elisabeth Badinter, avaient expliqué que "l’histoire n’est pas un objet juridique. Dans un Etat libre, il n’appartient ni au Parlement ni à l’autorité judiciaire de définir la vérité historique".