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andré 2 avril 2009 19:06

Vous auriez pu laisser votre crayon rouge de côté, Jef. L’article de monsieur Fournelle est loin d’être émotif et celui de madame Maresquier dépassait de loin la virulence. Cet article était une charge haineuse contre le Québec. Selon votre logique et votre rationalité, monsieur Fournelle aurait du démontrer point par point que les assetions de la dame ne tenaient pas la route. Jolie commande. Il aurait possible de faire l’exercice si la dame en question nous avait pas ensevelis sous une avalache de statistiques. Elle a joué à la victime collective sans jamais expliquer en quoi personnellement elle avait eté lésé. Montagnais a tout à fait raison de dire que la motovation de l’auteur demeura à jamais un mystère. Madame Marasquier est trop fainéante pour s’expliquer clairement et il faudrait que monsieur Fournelle démontre pointe par pointe que chacune de ses flèches sont empoisonnées. Non mais, ça ne va pas la tête, l’ultrarationel.

Monsieur Fournelle a raison lorsqu’il dit que cette hargneuse n’est pas représentative des français. Les français ont plus de civilité que cela. Énormément plus. Le comportement de madame Maresquier me fait penser à celui de ces oiseaux qui chient dans leur nid et se plaignent que leur nid sans la merdre, ces oiseaux qui déménagent ensuite dans le nid du voisin, y chient et se plaignent que le nid du voisin sent la merde. Ce genre de puants nous en avons au Québec. Ils ne sont pas nombreux heureusement et nous en avons honte. Il y en a aussi en France. Ils ne sont pas nombreux et les français en ont honte.

Madame Maresquier est bien silencieuse. Elle a fait son petit paquet dans notre nid et elle s’est tirée. Pas une ligne, pas un mot de sa part suite aux commentaires à son article.On repassera pour l’échange ou le débat constructif Il n’y a que vous, Jef, pour servir de tampon entre cette brave fuyarde et ceux qu’elle a provoqués.Quelle belle âme vous avez ! Si madame Marasquier n’avait pas écrit son torchon, monsieur Tournelle n’aurait pas réagi aujourd’hui d’une façon émotive ou rationnelle et vous auriez pu laisser dormir votre crayon rouge, cher souligneur zélé.

Je suis émotif ? La belle affaire ! Je suis un doux mais quand on m’agresse, je ne change pas de trottoir.







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