Le plus terrible c’est qu’il a bien parlé en Angola le 22 mars de la femme et des « conditions défavorables auxquelles elles continuent d’être soumises. »
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Je vous exhorte tous à une réelle prise de conscience des conditions
défavorables auxquelles ont été - et continuent d’être - soumises de
nombreuses femmes, en examinant dans quelle mesure la conduite des
hommes, leur manque de sensibilité ou de responsabilité peuvent en être
la cause.
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Aujourd’hui, qui ne perçoit le besoin d’accorder plus de place aux
« raisons du cœur » ? Dans une civilisation comme la nôtre, dominée par
la technique, on ressent le besoin de cette complémentarité de la
femme, afin que l’être humain puisse y vivre sans se déshumaniser
complètement. Il suffit de penser aux terres où règne la pauvreté, aux
régions dévastées par la guerre, à de nombreuses situations dramatiques
découlant des migrations forcées ou non... Ce sont presque toujours les
femmes qui y maintiennent intacte la dignité humaine, défendent la
famille et sauvegardent les valeurs culturelles et religieuses.
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Par contre, il ne me semble pas qu’il ait parlé du préservatif aux africains mais seulement au journaliste qui l’a interrogé avant sa descente d’avion (?).