N’empêche que je persiste à penser que si, nous Européens - parce que je ne suis même pas Français -, prétendons faire ce que nous voulons chez nous, notre première règle est d’accepter que les autres peuples fassent ce qu’ils veulent chez eux !
Et quand Mme Geromini observe qu’« on vit dans un monde globalisé qu’on voudrait solidaire !!! », elle parle pour elle et donc elle n’engage qu’elle-même, avec ses illusions d’intello irréaliste (pléonasme vicieux).