Si
M Val est un maitre de la qualité ès papier, on imagine facilement
que le papier en question a plus sa place dans les chiottes, que dans
un kiosque à journaux. Le très politiquement correct Charlie est
effectivement une daube tout comme son maitre à penser, dont les
desseins n’ont pas grand chose au commun avec la philosophie
kantienne. Le départ de Ciné n’a pas changé fondamentalement le
contenu de ce torche-cul, qui à perdu son âme depuis longtemps,
Choron doit se retourner dans sa tombe en voyant ce que sa création
est devenue.
Que
Val exècre le net est bien naturel, dans la mesure où c’est le seul
endroit où réside encore une certaine liberté d’expression, ce qui
généralement déplait aux pro-sionistes dont font partie Val et ses
amis de l’intelligentsia parisienne, chantres de la rectitude
politique. Le licenciement de Siné est un exemple criant de
l’orientation de Val, même si en vérité la perte du vieux ne
change pas grand chose à la médiocrité du canard.
En
conclusion cette allégorie soulignant la misère créative de
Charlie, est intéressante mais un peu ardue à déchiffrer, compte
tenu de son style télégraphique, qui en fait un patchwork
littéraire assez confus.