Castor, je crois que tu biaise, involontairement peu-être, en affirmant notre quelconque extrémisme.
La question est de savoir qui est ectrémiste et que met-on dans ce mot.
Si revendiquer une société plus juste est être extrémiste, j’accepte sans aucun problème.
Pourtant, je ne vois pas 36 manières de lutter contre le détricottage social, ou par le concensus ou par la force, et la force est, aujourd’hui, en apparence, du côté de l’argent ; une fois ce constat fait, il est fallacieux de dire que l’extrémisme n’est pas un attribut du pouvoir et des nantis. Ils sont seuls à détenir les clés de leur avenir, plier ou rompre, eux qui sont spécialistes du chantage devraient comprendre une fois pour toute que leurs aspirations ne coïncident pas avec la bonne marche d’une société civilisée.
Ainsi la force peut-être le droit sans pour cela être contraire aux conventions sociales.