Pauvre femme qui pour revenir sur les premiers plans de la scène attaque comme une vache que l’on mène à l’abattoire sans dicernement, sans réalisme, sans stratégie, terrifiée par son proche tépas politique. Elle se prend pour MIT-MIT qui avait l’intelligence d’un pédateur, calculateur et froid, ne lachant sa proie que pour le coup de grace, un sérial killer de la politique : l’envergure royale d’un président. Aujourd’hui, c’est un sucide politique ; la gauche n’est pas près de revenir au premier plan avec de telles bourdes.