On peut dire ce que l’on veut de Ségolène Royal, approuver ou condamner ses « excuses », rien de ce qu’elle dit ou dira sur les propos de Sarkozy n’aurait existé si notre hyperprésident n’avait prêté à ce point le flanc à la critique par ses déclarations intempestives, son comportement vulgaire, et ses condamnations réccurrentes (souvent en termes injurieux) de tout ce qui n’est pas lui-même !