La raison est dans le texte, peut-être pas vraiment apparente, mais elle y est !
Disons qu’une partie du sujet concerne plutôt les espérantistes eux-mêmes, (après tout, personne n’est obligé de lire), tandis qu’une autre concerne un problème plus général d’autocensure : un média digne de ce nom ne doit pas citer l’espéranto uniquement comme repoussoir, ou comme métaphore péjorative, ou lorsqu’il est associé à un criminel, même si ça n’occupe qu’une demi-ligne de l’article.