Je retourne l’argument.
Il faudrait donc qu’une entreprise demande une autorisation à l’Etat pour transférer du travail vers les pays pauvres ?
Et bien non, si je suis votre discours sur la coercition, il suffirait que le patron obtienne l’assentiment de ses employés, je n’ai nulle part parlé d’une autorisation de l’Etat.
Et pour répondre à votre deuxième affrirmation, je vais vous surprendre, mais je ne suis pas pour que les pays pauvres restent pauvres.