Je ne pensais pas précisément à la Prévention qui est un autre vaste sujet, mais bien plus à la haute compétence (volontairement je n’emploie pas le terme de « haute technicité ») des personnels médicaux et paramédicaux à maintenir dans l’objectif de répondre, le moment venu, aux « cas » les plus lourds, sans employer la même « artillerie » pour « screener » tous les patients pour rentabiliser les équipements (parfois pour le confort - au sens de « conforter » - les médecins dans leur diagnostic clinique), matériels et autres médicaments dont on sait qu’ils manqueraient à ceux qui en ont vraiment besoin.
Et puisque un pas en entraîne un autre : la virtualisation pourrait permettre aux médecins de s’entraîner - tout comme les militaires, les pilotes etc - sur des machines virtuelles pour ne pas perdre la main, pour s’améliorer, pour tester de nouvelles pratiques qu’on espère de moins en moins invasives.