Dans le cas présent, il reste totalement à démontrer que Julien Coupat soit pour quoi que ce soit dans les faits dont on l’accuse. Les barbouzes de la DCRI n’ont pas le commencement du début de l’entame d’une preuve, et grenouillent en se basant sur des horaires de chemin de fer, des essais politiques ou du matériel d’escalade trouvé chez lui.
A la fin des fins, il faudra bien le relâcher, en attendant, il sert d’exemple vivant à toutes les « fortes têtes ». Parce que la notion sarkozyste de la citoyenneté, c’est quelqu’un qui ferme gentillement sa gueule et participe aussi peu que possible à la vie de la cité. Le contribuable paiera les indémnités et les responsables et judiciaires qui ont joué le pourrissement seront félicités...