Moi, je trouve cette photo très belle, un peu à la manière maniériste de l’école de Fontainebleau, peau lumineuse à la blancheur de lait, généreuses poitrines qui évoquent à la fois un potentiel érotique, et leur vécu de femmes ( mères). Un idéal feminin assumé, dans une mise en scène trés élaborée, qui par contraste avec toute cette chair bronzée et dorée qui défile à Cannes, est trés efficace. Même si c’est pour ce mauvais journal, il reste des photographes qui savent travailler. La réunion miraculeuse de Diane de Poitiers et de Catherine de Medecis dans un enfer de vulgarité.