Aldomovar, escroquerie cinématographique depuis le début. Remarquez, il y a bien pire encore : Tarantino, toujours incapable de faire un seul plan correct. Et puis ici, tout se tient : Delaury, pour encenser Aldomovar, cite Houellebecq. Ça me semble... normal. Les escrocs s’attirent.
résumé de la forfaiture :
« bien sûr le rouge passion, vermillon ou sang, est là, partout (voiture, vêtements, tableaux pop, etc.), mais, concernant la mort au travail, je trouve qu’Almodóvar passe un peu à côté »
Si vous arrivez à relier les deux, vous êtes bon pour lire du Houellebecq en effet... autant relire Fredric Brown : c’est du genre télégramme de zorro à son cheval. Mr Delaury, tentez donc d’essayer de ne pas faire à tout prix intellectuel : c’est pas ça, un intello. Vous vous gavez d’expressions, sans plus. Ce ne sont pas des critiques (il n’y a pas d’opinion !), mas un gargarisme que vous nous imposez à chaque fois. Vous êtes le Serge Loupien d’Agoravox, en quelque sorte, ou le Bayon des sites citoyens : vous maniez le creux, pour tout résumer.