@ Léon : « mais à partir du moment où vous avez quitté celui du rap et de la techno... »
Mais je n’ai nullement quitté le rap et la techno, Monsieur. Je dirais même que j’ai encore les deux pieds dans ces genres musicaux, et que je ne suis pas prêt de les retirer tant leur exploration s’avère passionnante. Parallèlement, je baigne aussi dans le rock progressif et le jazz, qui sont tout aussi fascinants. Cet éclectisme vous est donc à ce point impossible à appréhender, intellectuellement ?