Merci pour les encouragements ! Petite précision : ce billet a été, à l’origine, publié sur mon blog « Géographie de la ville en guerre », qui se propose avant tout de présenter les problématiques géographiques sur les villes affectées directement ou indirectement par la guerre (ce qui est l’objet de mon travail de thèse). Je travaille plus spécifiquement sur les villes de Mitrovica (Kosovo), Beyrouth (Liban) et Abidjan (Côte d’Ivoire), et ne suis absolument pas spécialiste du Sri Lanka. Néanmoins, la problématique des déplacés forcés/contraints dans la guerre m’intéresse au plus haut point, et j’ai voulu l’illustrer par un exemple de l’actualité, suite à un premier billet plus général (« La guerre, la ville et les déplacés », qui entre dans une série de billets consacrés à « la guerre, la ville et... », en hommage à l’ouvrage de l’historien Jean-Louis Dufour La guerre, la ville et le soldat). Bref, ce billet ne prétendait pas expliquer les processus politiques internes ni les enjeux bien complexes de ce billet, d’où l’envie de renvoyer le lecteur vers des auteurs bien plus compétents que moi dans ce domaine, notamment les travaux de Delon Madavan, cités dans l’article, qui ont le double avantage d’être écrits dans un français très accessible, et d’être disponibles sur Internet).