Salut Zen.
Le pire est qu’ils auraient d’ores et déjà trouvé un millier de couillons prêts à sacrifier tout ou partie de leur salaire de juillet. Un vrai cauchemar !
Encore que pour le patronat, il s’agisse là plutôt d’un beau rêve. Car une fois l’habitude prise et les réfractaires lourdés dans les grosses boîtes, il suffira de temps en temps d’exercer un petit chantage au dépôt de bilan pour pressurer un peu plus les gogos. Désespérant !