Salut Cambronne !
Content de vous retrouver ici. Les invectives d’Abdel ne vous rappellent-elles pas la rhétorique du bon vieux temps, quand les émules de Pol Pot fustigeaient les ’chiens courants’ et les ’tigres en papier’ de l’impérialisme ?
Abdel, avoue - tu portes des vestes Nehru ou un treillis syle Guévara ?
Car je ne t’imagine pas en shalwar-kamiss et turban, car quoi que tu dises, ces gens-là doivent te donner de l’urticaire...