Berlusconi n’a jamais considéré que la racaille d’importation est une CPI (chance pour l’Italie) et il s’est prononcé sans ambage contre une société multiculturelle.
Quand on possède un patrimoine aussi riche - riche de deux civilisations, ce qui est un cas unique dans l’histoire universelle - que l’Italie, on répugne à le fourguer aux descendants de peuples primitifs dont l’histoire et la culture serait au large sur une seule disquette du temps des disquettes.