@ Allain Jules,
Je me permets d’interrompre votre séance de gymnastique
auto-congratulatoire, tout en restant néanmoins admiratif devant votre souplesse
d’exécution !
En effet, vous semblez tirer une certaine gloire de la désaffection de
vos contradicteurs, comme si celle-ci était due à une forme de
victoire.
Pour les autres, je ne sais pas ce qu’il en est, mais en ce qui me
concerne, j’ai souvenir que notre précédente conversation s’est surtout
systématiquement conclue par une absence de réponse aux contradictions
que j’ai signalé dans votre discours. Ce qui, si vous tenez à ce point
à la métaphore sportive, équivaut à déclarer forfait...
Bref, il me parait plutôt sain de ne pas retrouver sous ce fil une
myriade d’intervenants dès lors que ceux-ci savent par expérience que
toute discussion sera vaine, qu’elle se soldera par une fin de non
recevoir et donc par une perte de temps.
PS : Vous voyez, vous faire l’aumône de cette explication m’a déjà fait
perdre de précieuses minutes, lesquelles auraient pu être consacrées à
la lecture plus attentive de la Convention de Strasbourg,
à laquelle le Mexique a adhéré sans émettre de réserve quant aux
conséquences des transfèrements sur la conversion des peines.