Donc selon vous la longueur moyenne d’un cortège de Gay Pride serait le thermomètre de l’épanouissement social des minorités en question ?
Peut-être que les homosexuels de province ne font pas une fixation maladive sur leur sexualité, et n’éprouvent pas le besoin d’aller gigoter sur un char dans ce genre de grouillis sordides pour le signifier...