Zen, le problème est que l’esprit de corps à l’EN empêche toute avancée dans le sens du mieux être des enfants.
La non dénonciation d’un comportement anormal reste l’imposture la plus profonde dans le milieu, comme si elle était une délation pure et simple, or le sujet n’est pas là, il faut recadrer la gravité des faits quand ils ont lieu et ici, l’esprit de corps ne devrait plus avoir droit de citer.
Une instit qui déculotte un gamin, lui fait faire le tour des classes ainsi, parceque pendant la récré il a fait le fanfaron sur un pari imbécile, je crois que tu seras d’accord qu’il y a un problème a dénoncer ou tout du moins à régler de façon urgente. Et bien la seule parole de l’institutrice, parcequ’épouse du directeur, fait foi, là est tout le scandale du silence du corps professoral qui devient complice.
Et ne me dit pas que c’est rarissime, ces comportements j’en ai connu au moins un par an dans ma courte carrière, sorti de l’EN et parent de plusieurs enfants scolarisés, je me rends encore plus compte aujourd’hui de l’ampleur du problème.