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Su (---.---.166.135) 12 novembre 2006 20:24

Ce site tombe bien, car je viens de me taper la mienne tout le we !

Il y a 6 ans, lorsque j’ai commencé à sortir avec son fils, elle m’appréciait beaucoup. Elle était un peu bizarre et égoiste mais je n’y accordais pas plus d’importance. Il y a 2 ans, mon ami et moi avons emménager ensemble : nous avons donné 1 clé à chaque parent pour arroser les plantes et pour dépanner. Nous avons retrouvé BM dans l’appartement entrain de téléphoner lorsque nous rentrions à la maison. Au départ, nous n’avions pas de lave linge et elle nous dit :« J’ai fait le tour des pièces pour prendre votre linge sale » Merci ! Comme si on éaparpillait notre linge et qu’il faille faire toutes les pièces du château dans les moindres recoins ! Lorsque nous avons annoncé la grossesse, elle était plus que ravie ! Etouffante mais je la voyait à petites doses. Lorsque bébé est né, le calvaire avec elle a commencé ! Si elle savait que son fils n’était pas à la maison, elle me téléphonait pour savoir ce que je faisais et si j’étais bel et bien à la maison. Elle pouvait me téléphoner jusqu’à 14 fois par jour et venait voir bébé tous les jours. Je passais 3/4 heures avec l’allaitement. Si la sage femme était là, elle restait et donnait son avis. Elle n’a jamais proposé son aide. Elle me disait toujours que ce que je faisais était faux et elle seule avait la Raison. Pour rester polie, je lui dit sous forme de confidence que j’aimerais avoir une position de maman mais pour ça que j’avais besoin de faire mon expérience. Elle a répaondu en haussant les épaules et est partie. 12 heures après, elle me traitais de mère infigne. Avant tout ça, sachant qu’elle était jalouse que nous allions avec mes parents en vacances, je lui ai proposé de venir. Alcoolique, elle était en manque : tremblements, bouche sèche, nerveusemalgré son litre de bière par jour et ses 2 caiprinhas. Elle a passé ses nerfs sur moi sans que son fils le voit. Dès qu’il n’était pas dans la chambre, elle débraquait sans frapper ni s’excuser et me prenait mon fils, fouillait dans notre chambre, critiquait tout, j’ai meme eu droit à ce qu’elle prenne mes habits dans mon sac de plage pour qu’elle les mette dans son sac et ainsi me laisser aller en linge au Supermarché et m’avouer l’avoir pris lorsque les courses étaient finies. Après 3 mois incessants, j’ai décidé de lui parler. Elle a confirmé s’être rendue compte d’être allée trop loin mais ne s’est jamais excusée et à toujours continuer dans le dos de sa famille et devant elle faisait la gentille. Jusqu’à ce que je me révolte et que je ne sois plus tolérante. Elle a joué le Caliméro. Son fils lui a trouvé des excuses du peu qu’il voyait et voulait voir. J’ai du lui faire les bagages et lui demander de choisir entre sa mère et moi. Maintenant, elle me critique derrière mon dos mais ne me dit jamais quelque chose de gentil. Son fils s’est calmé mais là on a du la voir 3 jours de suite et ce n’est pas facile : lorsqu’elle vient à la maison, elle fait le tour avec son corps pour critiquer le rangement, l’appart mais ne dit rien (le fait après. Lorsqu’on est au resto en fête, elle boude tout le monde (ou c’est qu’elle n’est pas intéressante) et lorsqu’on va chez eux, elle fait tout pour interférer entre mon fils et moi. Par exemple, si je joue avec, elle va lancer un ballon sur moi pour que l’enfant la regarde et veuille jouer avec elle. Si je le suit pendant qu’il marche pour éviter une chute, elle se mettra entre bébé et moi, elle vole la bouteille d’eau du petit parce qu’elle veut acheter exactement la même pour notre prochaine visite. Lorsque je la cherche, elle ne dit pas ou elle est mais je la retrouve en hauteur dans la cuisine, lieu ou elle est seule à être allée... Et bien évidemment, cela reste le plus grand sujet de disputes engendrés dans notre couple. Pareil qu’une autre internaute, mon ami n’ayant pas le courage de lui parler, cela finira bientôt par faire rompre notre couple. Maintenant, je suis enceinte du deuxième et je crains qu’elle ne veuille en profiter pour une fois de plus prendre beaucoup de place. A un moment donné ^, j’ai arrêté d’aller chez eux, mais lorsque j’y suis retournée, elle avait une grande main mise sur mon fils. Je ne sais plus quoi faire...


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