Je pense qu’il faut aller plus loin que les Suisses, un peu timides sur le coup : il faut d’urgence enseigner l’astrologie à l’école primaire, et créer des postes d’agrégés d’astrologie, rattachés à la faculté des sciences, pour répondre ainsi au besoin des patients, et reconnaître enfin une pratique millénaire, complémentaire de la science officielle.
A l’avenir, la médecine, et plus généralement toute la science, doit faire l"objet de négociations tripartites état-syndicats-patients, dont les débats se baseront sur les rapports de quelques consultants spécialisés en sciences.