" À la Madeleine, on dépasse un camion Fauchon qui répand ses précieuses
victuailles sur le trottoir et je me met à rêver de braquage
gastronomique. «
T’as vu, t’es à Paris depuis la veille et à la seule vue de cette marque dont l’on ne parle que dans les lignes du Figaro, tu basculerais illico dans le même réflexe que celui à qui la » racaille « doit sa réputation... ? Il est à souhaiter que les lecteurs du Fig te lisent afin qu’ils comprennent mieux ce que représente le goût insondable de la tentation ! Heureusement pour toi et pour eux, il n’y a pas de » s " à Fauchon...