Entièrement d’accord avec cette analyse et cet article.
On effraye le chaland avec les épouvantails et les boucs émissaires, pendant qu’on lui fait le portefeuille, et qu’on le dépouille de ses droits et de ses libertés.
Technique classique de la diversion, et du ressort de l’insécurité, pour faire trembler dans les chaumières, et attirer les plus fragiles dans le giron d’un état de plus en plus policier, qui peut ainsi continuer son entreprise de démolition sociale à sa guise.
Manuel Valls fait effectivement partie de ces petits collabos de l’ordre policier et libéral, qui sont une honte pour tout le mouvement progressiste.
Et on n’a encore rien vu ; devant la crise qui va continuer à aggraver la situation, notamment en matière d’explosion du chômage, le cercle vicieux paupérisation-délinquance-répression a encore de beaux jours devant lui ; et les épouvantails n’ont pas fini d’être agités...