Dac avec l’article.
A ce propos, chez les psys, on a même « scientifisé » le concept de « monstre » en le nommant « psychopathe ». Concept tout-à-fait arbitraire dont le « diagnostic » repose même sur certains critères de valeur « morale »... carrément.... Et auquel on n’a, bien sûr, jamais pu trouver la moindre trace de corrélation avec un dysfonctionnement cérébral quelconque.
En clair, n’importe qui pètant un plomb un jour, pourrait se faire « diagnostiquer » psychopathe avec internement à la clé si un délit a été commis.
Un conseil : refusez tout interrogatoire de psy dans un contexte judiciaire, car dans ce contexte, ce sont de vrais charlatans n’ayant pas + d’efficacité objectivement vérifiable que les astrologues ou cartomanciennes. Leur inefficacité tant dans les prévisions que la prévention est notoire. Ce qui est la preuve scientifiquement objective de leur incompétence.
La majorité des magistrats n’accorde d’ailleurs qu’un crédit très limité aux rapports psys. Sur ce point, il faut par contre se méfier des jurys populaires qui sont par définition des clubs de beaufs.