Comme toujours, celà dépend de qui émet le jugement.
Quand les mêmes félicitent les tunisiens, les marocains, les indonésiens, etc. de pratiquer plusieurs langues pour faciliter la vie aux touristes, on voit bien qu’ils estiment que ce n’est pas au touriste de connaître la langue du pays visité.
La connaître serait très bien mais il n’est en rien nécessaire sinon on assisterait à des stages de langues pour touristes ou à la naissance d’une industrie (qui profiterait aux mêmes) : délivrer des diplômes de touristes polyglottes :)
Les Etats-Uniens par exemple sont l’illustration parfaite du touriste arrogant, désinvolte, qui met les pieds dans les plats et qui n’accorde aucun respect aux « indigènes ».
Les sondés préfèrent les riches, naturellement, même s’ils ne parlent pas un mot de la langue.