Bravo, très belle analyse. Je me plais à imaginer Amiel vivant à notre époque. Probablement qu’il aurait été un blogueur très visité et reconnu. Les sociologues, historiens et passionnés de littérature du siècle prochain vont se régaler en parcourant l’incroyable quantité de textes qui circulent. Amiel, le saint patron des blogueurs ?