M. Morice,
Je lis vos articles régulièrement et, probablement à cause de mon inculture, j’y trouve un engrais pour faire survivre mes dernier neurones.
Merci, donc, même si j’ai du mal à comprendre comment vous vous faites aussi facilement piéger par les provocations tellement attendrissantes de certains de vos contradicteurs.
Mais je n’ai sans doute pas tout compris des enjeux sous-jacents et si la colère me manque.
Je continue à guetter vos contributions, même si j’interviens si peu dans les fils qui les suivent.
Amicalement,