Monsieur Morice, bonjour.
La sagacité de votre saga des trous, m’agace ! Ne le prenais pas mal, je vous parcours plus que je ne vous lis, et je me délecte des commentaires acerbes.
Nous, les tacherons du verbe, qui n’avons pas votre verve, sombrons dans le ridicule. Pire encore ( Momo) mon mot sera noyé parmi les 350 commentaires de vos contradicteurs.
Doit-on fuir vers des sites moins riches en auteurs prolifiques pour exister ? Votre sérieux dans l’analyse, est le tsunami qui ravage notre prose.
Etre ou ne pas un Morice ? Ce mot m’hérisse.
Bien cordialement.