Article utile sur des faits incontestables mais méconnus. Le fait est que depuis le XiXème siècle, les alsaciens se sont trouvés trop allemands pour les français et trop français pour les allemands. Ils ont vécu entre le marteau et l’enclume et en ont pris plein des deux côtés. Il ne fait pas bon vivre dans les marches de puissances.
Sur le sujet de l’article, je me permets de recommander le livre « Je n’étais pas volontaire », journal d’un de ces mobilisés décédé, publié assez récemment.