« Car avec le retrait de D. Cohn-Bendit de la course aux présidentielles, et en l’état actuel du PS, ce débat et la perspective d’une alliance de l’opposition modérée profite à trois présidentiables potentiels : Ségolène Royal, Dominique Strauss-Kahn et François Bayrou »
Ou est la gauche avec ces trois personnages ? L’opposition à NS, je l’admets sans difficulté, mais je n’appelle pas ça la gauche.