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Alain Jean-Mairet 27 août 2009 12:48

Dans l’histoire, la fameuse petite phrase « pas de contrainte en religion » (2:256) n’a eu qu’un impact très anecdotique. L’interprétation la plus commune et consensuelle semble avoir été d’en admettre le principe général (puisqu’il figure dans le coran en termes généraux et non, ou très peu contextualisés) mais d’exclure les apostats, les femmes, les prisonniers et divers autres groupes sur la base des cas dans lesquels le coran lui-même ou la tradition prophétique entre en contradiction avec le principe général (et donc permet de forcer des gens).

D’autre part, en considérant l’ensemble des textes, et surtout le parcours du prophète, il est impossible de considérer que le message coranique est tolérant. Tout au contraire. Mahomet est (censé être) né dans une société tolérante, où cohabitaient de nombreux dieux, de nombreux cultes, et il n’a eu de cesse d’y imposer à tous un seul et même culte.

Il a d’abord cherché à le faire par le prêche (mais pas aimablement : le premier verset révélé contient déjà la menace de l’enfer pour les incrédules) puis, dès son arrivée à Médine, par la violence (également en masse et par traîtrise). À tel point qu’en fait, encore aucun terroriste musulman de notre temps ne s’est montré seulement à moitié aussi intransigeant et cruel que le personnage dont le comportement doit servir de guide aux musulmans.

Ainsi, il faut s’attendre à ce que l’intolérance de l’islam continue de s’aggraver à mesure que plus de gens liront les « aventures » de Mahomet dans des textes qui les présentent comme exemplaires.


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