Ces accommodements ne sont pas des compromis. Ils montrent au contraire notre capacité à vivre ensemble, à respecter des choix différents et à les intégrer à notre vie de tous les jours. Ces fêtes sont aussi des facteurs de cohésion sociale qui sont loin d’être divisifs.
Le pays où j’habite et où n’existe pas de séparation entre l’état et l’église me semble beaucoup tolérant et accommodant vis-à-vis de tous les pratiquants et athées que ces propositions « post-révolutionnaires ».