Service public et privilèges des cheminots et consorts, ce n’est pas la même chose. Elle a bon dos la défense du service public lorsqu’il s’agit de protéger les privilèges de ses salariés. Nos vertueux cheminots, enseignants, etc.… pleurent misère sur leur salaires (au demeurant pas si ridicules face au privé) mais la ramènent beaucoup moins lorsqu’on leur fait remarquer que leur jobs assurés et pensions avantageuses font d’eux des nantis. Personne ne les retient, qu’ils s’en aillent, on n’aura pas le moindre problème pour les remplacer.