quand je n’étais pas grand, j’étais petit, mon père me disait :« Antoine, faut que tu penses à t’inscrire aux soins de santé » . Agacé et rebelle, je l’envoyais paître :« Quand je serai vieux, papa, yaura plus de sécurité sociale car cela sera la faillite généralisée ! ». Mon père a mouru, jeune, avec la sécu.