@Taktak. La martingale keynesienne, c’est emprunt et inflation (de la masse monétaire), consommation, production, et pas d’épargne. Un cycle très différent, qui induit entre autre crises monétaires à répétition, crises dont l’ampleur est fonction des efforts qui ont été déployés pour justement empêcher la crise. Comme un barrage qui s’effondre tôt ou tard sous l’effet des réajustements nécessaires des marchés, marchés qui se vengent (sans anthropomorphisme svp).
Épargner, donc, à condition que le travail ne soit tant soumis à cotisations et taxations qu’aucun excédent ne puisse naître.
Produire, c’est à dire par l’offre chercher la demande, explorer.
Consommer et donc échanger. L’échange est la véritable source de richesse, parce que il permet la meilleure allocation des ressources possible, en fonction de ce que chacun sait et des anticipations qu’il peut avoir.