En tout cas, le discours de Matthieu Kassovitz est parfait.
Beaucoup de pudeur, un esprit de synthèse extrêmement précis, un résumé plutôt efficace des arguments. Et en plus il connaît bien son Histoire. On boit du petit lait.
Son sourire, pour votre gouverne, est surtout un sourire interloqué devant la question de F. Taddeï « peut-on questionner la version officielle ou doit-on taire cette contestation ? ».