L’information sur le cancer du testicule est hélàs inexistante alors qu’il serait primordial d’informer les ados masculins. 1800 cas par a. On en mourraitencore il y a 20 ans mais désormais il est guéri à 90 %. Il faut savoir que dans 90 % des cas il n’est pas douloureux et le jeune « couillon » n’ose pas parler à qui que ce soit de cette grosseur qui se développe a la surface du testicule. Et on termine avec des métas abdomiales, pulmonaires voire cérébrales. Et la chimio en est d’autant plus sévère hélàs.