Autant je supporte le concept du Ferroutage, autant je pense qu’on
dérive. Façon Grenelle,, même. Pour mettre en place le ferroutage, on a
pas besoin d’idées, des idées y’en a à la pelle, on a besoin d’une
volonté politique, c’est tout con.
On peut attendre longtemps si on pose comme condition le consensus sur
telle ou telle méthode, au regard de tel ou tel avantage, etc.
On n’en serait pas encore aux congés payés.
Alors on met en place le ferroutage, et les requins sauront bien en
tirer profit, puisqu’il semble qu’il ne puisse s’agir dans tous les cas
que de rentabilité (cf : argumentaire R-shift-R).
Autre méthode (on ne parle plus de ferroutage, mais de l’état du frêt
ferroviaire) : Sortir de la crise (remarquez, c’est assez présomptueux,
on y entre à peine...).