Non, ce n’est pas que cela devienne Noël (encore les clichés tordus), mais c’est que certaines denrées typiquement ou particulièrement consommées durant le Ramadan subissent de fortes spéculations de la part des négociants et des commerçants sans vergogne, qui n’hésitent pas à renchérirent les prix, ce qui n’a rien d’islamique comme attitude.
Il faudrait ne pas oublier que le sommet des circuits des marchés est monopolisé par des gens qui appartiennent ou qui sont en connexion avec la gente dirigeante et/ou la haute bourgeoisie, ce qui explique le peu d’enclin de l’Etat à réguler les marchés et bannir la spéculation comme il le prétend dans la plupart des pays peu développés.
Comme quoi, loin des clichés tordus, la vérité se trouve toujours ailleurs.