L’article n’avait pour but ni de défendre Kadhafi, ni d’enfoncer Ahmadinejad. Je n’exprime aucun avis à leur sujet ; et je les défend encore moins. Il n’était donc pas nécessaire de s’emballer.
L’article traite des médias et soulignait le parti pris des journalistes qui, sur un sujet aussi sérieux que le discours d’un dirigeant très controversé, auraient dû privilégier le fond sur les faits anecdotiques entourant son intervention.
Et les premières réactions que je constate prouvent bien qu’« il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre. »