@Italia,
Je répondais juste sur les deux points évoqués dans mon commentaire précédent. Je suis très consciente de la situation à Cuba, et la liberté d’expression vaut bien sûr la peine d’être défendue. Je le dis d’autant plus facilement que je suis amenée à le faire et précisément à Cuba dans mon travail. Mais je ne minimise pas non plus le prix à payer en contrepartie d’un régime plus libéral. Et si comme vous le dites il ne suffit pas pour vivre et être heureux de manger à sa faim ou bien de savoir lire et écrire, et c’est évident, la liberté d’expression lorsqu’on souffre de la faim, et qu’on est privé des droits humains les plus élémentaires n’a pas non plus beaucoup de sens.