Imothep,
Vous spéculez sur mes propos.
Je serais capable de tuer de mes mains n’importe qui qui s’attaquerait à mes enfants.
Une de mes parts d’ombre sans doute.
Le bouquin de Mitterrand, autant qu’il m’en souvienne, est un livre noir, tragique. Une sorte d’introspection thérapeutique, impudique qu’il a trouvé nécessaire de rendre publique dans un espoir d’exorcisme. Une oeuvre littéraire très sombre et peu tendre avec lui-même.
Je le laisse avec ses démons, qui doivent certainement le torturer pour qu’il ait pu écrire ce qu’il a écrit.
Je ne souhaite pas participer à la curée ici, où pas grand monde n’a lu le livre, et où toutes sortes de bonnes raisons aussi diverses que variées se mêlent.