Certainement la petite partie émergée de l’iceberg. L’autre partie, la plus grosse, on s’emploiera à la laisser bien cachée sous la banquise mitterrando-sarkozienne.
Et honnis soient les Français qui osent appeler à la démission ! Honte sur eux ! Ce sont eux les infâmes (normal, c’est le peuple, donc c’est l’ignoble). Ne touchez pas à l’ange pur !
« Le peuple ? On s’en fout ? » Même un référendum demandant à 98 % la démission du ministre Mitterrand, serait superbement bafoué au nom des copains. Et, s’il le falait, on referait voter autant de fois que nécessaire jusqu’à obtention du résultat escompté par le club des copains. Quel qu’en soit le coût, on va pas lésiner, on ne l’a jamais fait jusqu’ici.
« Il n’y a pas d’alternative » = « Ta gueule, le peuple ! »