un revirement de plus à mettre au crédit de J. Chirac. Oublié le panache du non alignement sur la position US lors de la crise irakienne. Si J. Chirac avait « de l’épaisseur » il se serait attelé à une question fondamentale pour la politique étrangére européenne : Paris et Londres doivent-ils demeurer les représentants permanents de l’Union au conseil de sécurité de l’ONU ?